Séjour où des corps vont cherchant chacun son fesseur. Assez torride pour permettre de mouiller en vain. Assez restreint pour que toute amoureuse soit vaine. C'est l'intérieur d'un craque masochiste ayant cinquante mètres de pourtour et seize de haut pour la pucelle. Femme. Sa cabriole. Son polisson. Sa mouille comme si les quelques quatre-vingt mille centimètres carrés de la masturbation totale émettaient chacun son attraction. L'aiguillon qui l'agite. Il se masturbe de loin en loin tel un soutien-gorge sur sa fin. Tous s'embrassent alors. Leur godemiché va peut-être finir. Au bout de quelques secondes tout ferraille.
Bidouille (Nordmann)
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